Réflexions sur les placements – Comment j’ai acquis l’assurance nécessaire pour investir
Rédigé par Kanwal Rafiq | Publié le 30 août 2018
Rédigé par Kanwal Rafiq | Publié le 30 août 2018
J’ai commencé à mettre de l’argent de côté à l’âge de 16 ans. Mais pour ce qui est d’investir, il m’a fallu quelques années de plus.
Avant d’être embauchée comme rédactrice par RBC, j’ai exercé un premier emploi était dans un commerce de détail. Mon salaire était suffisant pour me permettre de déposer 100 $ dans un compte d’épargne toutes les deux semaines, et il me restait assez d’argent pour me gâter un peu (j’adorais aller au restaurant!). J’ouvrais une session avec mon appli bancaire et je regardais l’argent s’accumuler dans mon compte. Au bout d’un an, j’avais 2 400 $. Quel merveilleux sentiment!
J’étais très impressionnée par ma capacité d’épargner – du moins, jusqu’à ce qu’on m’explique l’importance d’investir pour « faire travailler mon épargne ».
« Comment peux-tu laisser dormir tout cet argent? », me demandaient mes amis qui s’y connaissaient en placement. « Tu pourrais avoir tellement plus. »
J’avais l’impression d’être face à un défi – ou, à tout le moins, à une occasion d’apprendre quelque chose de nouveau!
Je savais qu'investir implique un certain risque : on peut perdre ses économies. En revanche, si j’étais gagnante, il se pouvait très bien que je puisse acheter une maison plus tôt que je ne l’avais imaginé.
J’ai décidé de faire un essai, à la condition d'avoir le contrôle total sur chaque dollar investi.
Étais-je complètement dans le noir quant à la façon de s’y prendre? Oui.
Je n’étais pas prête à ouvrir un véritable compte de placement, mais j’avais entendu parler des comptes fictifs par une collègue qui en avait un. Avec 100 000 $ d’argent fictif, je pourrais m’exercer sans risque à investir dans des sociétés et des titres, et ainsi faire mes premiers pas en toute sécurité. Cela me convenait!
J’ai donc fait un essai.
Au départ, je pensais qu’il me suffirait de choisir une action et d’entrer le nombre d’actions désiré – et que le tour serait joué! Ce n'était pas tout à fait le cas. Il fallait tenir compte d’une foule d’autres choses! Voulais-je passer un ordre au marché ou un ordre à cours limité? Voulais-je établir un cours de déclenchement? Que signifiaient tous ces termes?
Mon compte fictif me donnait accès aux mêmes outils et aux mêmes recherches qu’un compte réel. J’ai donc pu me familiariser avec la plateforme sans craindre de faire des erreurs. C’est ainsi que je me suis habituée au processus de négociation et à la plateforme.
Je dois dire qu’il était assez excitant de gérer 100 000 $! Je ne dis pas cela parce que je m’attends à avoir véritablement une telle somme à gérer dans un avenir prochain. Mais j’ai trouvé rassurant de pouvoir apprendre le fonctionnement du site et la façon de passer des ordres sans risquer mes économies.
Plus tôt cette année, j’ai finalement fait le saut. J’ai passé un premier ordre à partir de mon propre compte! J’étais nerveuse, bien sûr. Mais, en même temps, je me sentais en territoire connu, car, grâce à mon compte fictif, je connaissais déjà très bien l’ensemble du processus.
Naturellement, je ne suis pas encore une experte, et donc je continue de faire preuve de prudence. Chaque fois que je désire essayer quelque chose de nouveau, je le fais d’abord au moyen de mon compte fictif. Je ne suis peut-être pas tout à fait prête pour la négociation d’options, mais je sais comment je m’y prendrai le moment venu.
* Cet article a été modifie le 4 octobre 2018
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